Mon monde de mots...

Mon monde de mots...

Solitude

Je rêve de partir, loin. Loin de tout. Loin du monde, loin des gens. Loin de toute civilisation.

Emportant juste ton souvenir dans mes bagages.

Je veux me faire oublier. Effacer tout le mal , toutes les peines que j'ai causé. Et laisser seulement un sourire dans vos mémoires.

 

Je rêve que je me retrouve seule dans des plaines infinies. Je rêve que j'ai marché des kilomètres et des kilomètres pour en arriver là. Avec comme seule et unique motivation l'idée que, loin, je ne pourrai faire de mal à personne.

 

Je rêve que je m'allonge, les bras en croix face au ciel gris des steppes. Je m'imagine restant ainsi des heures, des jours, des années, en ne ressentant ni la faim, ni la soif.

 

Mais arrive la solitude.


30/04/2014
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Laos

J'ai appris il y a environ deux semaines que j'allais à priori partir vivre trois ans au Laos fin août. Cette information me réjouis car c'est un rêve de petite fille (vivre en Asie en tant qu'expatriée) qui se réalise, mais je n'arrive pas à réaliser que je vais devoir tout quitter.

Ma vie, mes amis... Tout est ici. C'est compliqué, je n'arrive pas à réaliser.

Lorsque j'essaye de m'imaginer vivant à l'étranger, je n'arrive qu'à penser aux moments où je vais revenir en France, ou à si mes amis viendront me rendre visite.

Je vais donc peut-être profiter un peu de ce blog pour en parler.


13/04/2014
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p'tite phrase 3

"Celui qui n'a pas d'objectifs ne risque pas de les atteindre".


04/03/2014
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p'tite phrase 2

"Ecrire est un acte d'amour. S'il ne l'est pas, il n'est qu'écriture". Jean Cocteau


03/03/2014
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Dimanche 2 mars 2014; 2

Un homme sur le quai fait de grands gestes. Je suis dans le train et je regarde les nombreux adieux sur le quai. On perçoit souvent un arrière goût de nostalgie dans les yeux de ceux qui restent en dehors du train. Ce n'est pas le cas de cet homme qui fait des gestes. Non, cet énergumen au look bariolé a un sourire jusqu'aux oreilles, qui laisse voir de grandes dents blanches. Il court sur le quai. On dirait qu'il parle avec des signes à la personne qui est dans le train.

Puis, lorsqu'il arrive à la hauteur de l'escalator, il s'arrête dans sa course. Ses longs cheveux gris retombent net. Le train est parti.

"La gare d'Austerlitz, j'y vais souvent, le mardi ou le vendredi, quand je finis les cours plus tôt. J'y vais pour regarder les trains qui partent, à cause de l'émotion, c'est un truc que j'aime bien, voir l'émotion des gens "

"Dans les gares, c'est autre chose, l'émotion se devine dans les regards, les gestes, les mouvements, il y a les amoureux qui se quittent, les mamies qui repartent, les dames avec de grands manteaux qui abandonnent des hommes au col relevé, ou l'inverse, j'observe les gens qui s'en vont, on ne sait ni où, ni pourquoi, ni pour combien de temps, ils se disent au revoir à travers la vitre, d'un petit signe, ou s'évertuent à crier alors qu'on ne les entend pas".

Delphine De Vigan, No et moi.




02/03/2014
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Dimanche 2 mars 2014

19h10. J'ai le temps. Oui, mais le temps de quoi? Le temps de lire, de courir, de pleurer ou de rire? Le temps de se presser, souvent. Le temps de penser tout le temps.

Mais pas assez le temps de se poser, de réfléchir, de tout noter. Pour ne pas oublier. Le temps me manque pour me poser les questions du monde... Et j'oublie tout.

Le temps, quel tracas!


02/03/2014
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Samedi 1er mars 2014

Où est le bonheur? J'ai souvent lu ou entendu cette question. Dans des livres, des articles, ou sur internet par exemple.

Il faudrait déjà pouvoir définir ce qu'est le bonheur. Mais c'est une notion trop relative pour la délimiter. Le bonheur dépend chacun.

 

Personnellement, je pense qu'il est partout. Il faut savoir en profiter, "l'apprivoiser".

Je suis désolée, le verbe "apprivoiser me fais toujours penser au petit prince de Antoine de Saint-Exupéry. Je suis obligée de vous mettre ce extrait:

"C'est alors qu'apparut le renard.
-Bonjour, dit le renard. ..
-Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
-Je suis là, dit la voix, sous le pommier.
-Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli..
-Je suis un renard, dit le renard.
-Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
-Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé
-Ah ! pardon, Et Je petit prince.
Mais, après réflexion, il ajouta:
-Qu'est ce que signifie « apprivoiser » ?
-Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu?
-Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est-ce que signifie « apprivoiser » ?
-Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?
-Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie « apprivoiser »?
-C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « créer des liens... »
-Créer des liens ?
-Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons.
Et je n' ai pas besoin de toi. Et tu n'a pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
-Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé...
-C'est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses.
-Oh! ce n'est pas sur la Terre, dit le petit prince. Le renard parut très intrigué:
-Sur une autre planète ?
-Oui.
-Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ?
-Non.
-Ça, c'est intéressant! Et des poules ?
-Non.
-Rien n'est parfait, soupira le renard.
Mais le renard revint à son idée:
-Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m'ennuie donc un peu. Mais, si tu m'apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m'appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé...
Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince:
-S'il te plaît... apprivoise-moi ! dit-il.
-Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n'ai pas beaucoup de
temps. J'ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.
-On ne connaît que les choses que l'on apprivoise, dit le renard. Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis.
Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
-Que faut-il faire ? dit le petit prince.
-Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t'assoiras d'abord un peu loin de moi, comme ça, dans l'herbe. Je te regarderai du coin de l'oeil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t'asseoir un peu plus près... "
Le lendemain revint le petit prince.
"-Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après- midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux. Plus l'heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m'agiterai et m'inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur! Mais si tu viens
n'importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m'habiller le coeur. Il faut des rites.
-Qu'est-ce qu'un « rite » ? dit le petit prince.
-C'est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C'est ce qui fait qu'un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les
filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu'à la vigne. Si les chasseurs dansaient n'importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n'aurais point de vacances.
Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche:
-Ah ! dit le renard... je pleurerai.
-C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal,
mais tu as voulu que je t'apprivoise...
-Bien sûr, dit le renard.
-Mais tu vas pleurer! dit le petit prince.
-Bien sûr, dit le renard.
-Alors tu n'y gagnes rien !
-j'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.
Puis il ajouta:
-Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d'un secret.
Le petit prince s'en fut revoir les roses.
-Vous n'êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n'êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisées et vous n'avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n'était qu'un renard
semblable à cent mille autres. Mais j'en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.
Et les roses étaient gênées.
-Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. on ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu' elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c'est elle que j'ai arrosée. Puisque c'est elle que j'ai mise sous globe. Puisque c'est elle que j'ai abritée par le paravent. Puisque c'est elle dont j'ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c'est elle que j'ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même Quelquefois se taire. Puisque c' est ma rose.
Et il revint vers le renard:
-Adieu, dit-il...
-Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit
bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux.
-L'essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.
-C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.
-C'est le temps que j'ai perdu pour ma rose... lit le petit prince, afin de se souvenir.
-Les hommes ont oublié, cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l'oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose...
-Je suis responsable de ma rose... répéta le petit prince, afin de se souvenir."

C'est trop mignon, n'est-ce pas? Bon, bref. Revenons au sujet.

 

Je pense que ce sont les choses simples, les moments simples, qui font le bonheur. Il faut apprendre à apprécier le vent dans ses cheveux, les rires de ceux que l'on aime, le bruit d'une cascade ou un coucher de soleil. C'est toujours agréable, apaisant. Chacun doit trouver les choses qui le rendent heureux.

 

Bien sûr, c'est facile à dire lorsqu'on a un toit sur la tête et qu'on est bien entouré...




01/03/2014
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p'tite phrase 1

"Deux choses sont infinies : l'univers et la bêtise  humaine. En ce qui concerne l'univers, je n'en ai pas la certitude absolue"


27/02/2014
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Mercredi 26 février 2014

Aujourd'hui une amie m'a raconté un cauchemar. Et je m'en inspire.

Imagines: Tu es une jeune fille et, on ne sait comment, tu te retrouves au milieu d'un combat sanglant. Les uns contre les autres (les noms n'ont aucune importance). Tous s'arrêtent et te regardent. Les yeux pleins de questions. Avec des airs de demander "t'es qui toi?", ou encore "t'es suicidaire?" mais surtout "tires-toi!". Avant que tu ai eu le temps de réfléchir, une balle de pistolet t'arrive dans le ventre. Tu cries de douleur. Petit à petit, en quelques minutes, la plaie cicatrise comme un miracle. Mais par dessus la balle, cela te fais horriblement souffrir.

 

Plus tard tu te réveilles dans une cellule sombre et certainement très grande car tu n'en vois pas la fin. Tu ne te souviens pas comment tu es arrivée ici. Tu essayes de réfléchir mais la sensation que tu as eu lors de la cicatrisation de ta plaie te hante. Puis deux hommes arrivent. Le plus âgé des deux déclare d'un ton on ne peut plus calme:

"-C'est moi qui ai tiré".

Tu les regardes en essayant de ne faire paraître aucune émotion. C'est dur!

Le vieillard (car il a vraiment l'air d'avoir au moins 300 ans), chuchote quelques mots à l'oreille de son voisin.

Ce dernier, toujours muet, s'approche de toi et commence à te dessiner des tatouages sur le corps avec un couteau. L'autre observe les yeux rêveurs tes plaies qui se referment au fur et à mesure. Tu essayes de garder ton calme. Mais ton bourreau te fais subir des tortures de plus en plus intenses et insupportables. Tu finis par craquer, au bout d'environ une demi-heure (qui t'as paru infinie) de torture, tu hurles.

 

Encore un fois tu te réveilles, mais cette fois-ci dans une chambre confortable. Cette fois encore, tu ne sais comment tu es arrivée ici. Ton tortionnaire est là, en train de remplir une baignoire en zinc d'eau chaude. Il te regarde. Ses grands yeux bleus sont suppliants. Ils disent "pardonnes-moi".

Et alors, tu te mets à rire.

 

 

 

Parfois je me dis, heureusement qu'il n'y a pas de "super-pouvoirs" dans ce monde. Mais qu'est-ce qu'un rire peut soulager!

Et, qu'est-ce que le pardon?

En réalité, pour les fans de manga comme moi, dans son rêve mon amie se retrouvait dans une bataille du manga "Pandora Hearts"




26/02/2014
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Lundi 24 février 2014

Aujourd'hui j'ai parlé à une amie qui avait une boule d'angoisse au ventre. Je lui ai d'abord dit qu'elle devait trouver la cause de son angoisse. Puis on a un peu parlé d'avenir, de problèmes... Je lui ai enfin dit qu'il fallait prendre la vie comme elle vient, vivre l'instant présent et ne pas se soucier des accros car de toute façon, on finira forcément par mourir. Cette réflexion me rappelle un texte que j'ai lu assez récemment. "Je voudrais pas crever, de Boris Vian. Ce texte est une sorte d'hymne à la vie. Je ne peux pas vous le mettre sur le blog car il n'est pas encore dans le domaine publique. Je vous invite vraiment à le chercher sur internet. Ce poème montre bien ce que j'essaye d'exprimer car Boris Vian souhaite tout essayer dans la vie, découvrir... Et la mort? C'est pas grave! Il faut tout tenter, tout tester, vivre heureux sans se soucier de ce qui devrait nous attrister. Et tant pis pour les conséquences! Je me dit qu'on peut bien faire quelques conneries si on vit une vie pleine d'expériences et riche en émotions. Pour moi, ce serait ça "avoir réussi sa vie". Y avoir pris goût, sans se soucier h24 qu'on est raisonnable, bien vu, respectable, pas ridicule.... Cela ne sert à rien de se tracasser vu qu'on finira forcément par mourir... Moralité? Faites ce qu'il vous plait!


24/02/2014
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Samedi 23 février 2014

Cette nuit j'ai fait un rêve étrange. J'apprenais du jour au lendemain que je partais vivre en Chine. Je devais tout quitter du jour au lendemain. Annoncer à tous mes proches que je partais, sans même pouvoir prendre réellement le temps de leur dire adieu. Et même si, en vérité, j'aimerais aller vivre en Asie, je ne pourrai pas le faire dans de telles conditions. Là c'était vraiment horrible. Et j'étais proche du Burn Out. Je suis finalement bien heureuse d'être restée tranquille, chez moi.


23/02/2014
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Mardi 18 février 2014

Aujourd'hui, une drôle d'image s'est fixée dans ma tête. Un SDF de ma ville a pris la place d'un personnage lorsque je lisais un livre. Je m'explique: Il y a une description d'un homme avec un bonnet. Et comme il est russe, j'ai eu le reflexe stupide de l'imaginer avec une chapka. Et un SDF que je croise régulièrement porte une chapka. Mon imagination m'a joué un tour, et je n'arrive plus à changer le visage de ce personnage. Le SDF était là, dans le paysage que je m'étais construit, avec les vêtements du personnage, et son éternelle chapka.

"Le voici sur une vaste place enneigée, je sais que c'est une place de Moscou, il sort d'un grand magasin de friandises, les bras chargés de paquets enveloppés de papier blanc, entourés de rubans... J'aime le voir ainsi... le col de loutre de sa pelisse noire négligemment ouvert, découvrant son haut faux col blanc, son bonnet de fourrure légèrement rejeté en arrière... il sourit, je ne sais pourqoi..."

Nathalie Sarraute, Enfance


18/02/2014
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Samedi 16 février 2014

Dans le train, un contrôleur très amusant:

-" Bonjour bonjour, nous allons procéder au contrôle de vos billets"

Puis il s'approche d'un passager, le réveil, et lui demande son billet. Ensuite il s'approche d'une autre personne et répond à une question:

-"A 13 ans pour nous c'est un adulte. Même si, enfin... ça dépend.... parfois à 90 ans on n'est toujours pas adulte...

-Bébé et 90 ans c'est un peu pareil: en général on porte des couches, je réponds".

Puis il se rapproche de la personne qu'il a réveillé. Elle est en train de boire un verre d'eau.

-"Heureusement que je vous ai réveillée, ça vous a donné soif, dis le contrôleur".

Derrière moi, il y a un homme endormi. Il a gardé son bonnet, son manteau, ses gants, son sac sur le dos. Il devait être vraiment fatigué...


16/02/2014
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